– La locomotive économique. – Il est indéniable que le tourisme est la locomotive de l'économie montagnarde
(i), et plus particulièrement les sports d'hiver, véritable vitrine mondiale
(i). L'or blanc porte toujours bien son nom
(i). Mais, comme toutes les autres portions du territoire, la montagne est vulnérable au réchauffement climatique, entraînant une diminution régulière de son enneigement
(i). S'il est loisible de skier sous quelques latitudes ensoleillées
(i), il est plus raisonnable pour les stations de basse et moyenne montagne d'imaginer et de pérenniser d'autres leviers de croissance en développant un concept de tourisme à la montagne et non plus à la neige
(i).
Ces stations font l'autopromotion (A) de leur offre de tourisme à l'année (B).